Partenariat
Dans le cadre du déploiement de sa stratégie de mobilisation sur le marché de la finance verte, la République de Côte d’Ivoire a signé des protocoles d’accords avec le Programme des Nations unies pour le Développement (PNUD) et le Global Center on Adaptation (GCA).
Protocole d’accord avec le pnud
Dans le cadre de la mobilisation des ressources sur le marché de la finance verte, la République de Côte d’ivoire a signé en décembre 2021 avec le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD) un protocole d’accompagnement. De façon spécifique, il s’agira pour le PNUD d’aider la République de Côte d’Ivoire dans la rédaction de son document cadre de Reporting d’impact. Les axes stratégiques abordés seront les suivants :
- L’identification des indicateurs de performance clés l’ensemble des secteurs inscrits dans le Document-Cadre des Obligations ESG
- L’élaboration une procédure opérationelle standard pour le reporting de l’impact (financier et non-financier) des obligations ESG
- Proposition de canevas de reporting des impacts qui servira de base pour les rapports futurs Identification et proposition des outils pour faciliter la collecte de données et le reporting des impacts
Protocole d’accord avec le global center on adaptation (gca)
Le Global Center on Adaptation est une organisation internationale dont la mission est d'agir en tant que courtier de solutions pour accélérer, innover et mettre à l'échelle les actions d'adaptation pour un monde résilient au changement climatique.
En sa qualité de spécialiste sur les questions de changement climatique, la République de Côte d’Ivoire a signé un protocole accord en mars 2022 afin bénéficier d’un appui dans le cadre son processus d’émission d’Obligations Durables.
Il sera question d’apporter un soutien technique à la République Côte d’Ivoire sur les questions relatives à l’identification et de sélection des dépenses éligibles ESG en mettant l’accent sur les dépenses d’adaptation et d’atténuation du changement climatique dites dépenses vertes, à la mise en place d’un système de classification et de codage des dépenses vertes et à la formation et au développement des capacités des agents de l’Etat.